Josey est fatiguée de se faire trainer dans la boue à cause de sa relation amoureuse avec le footballeur Serey Die. Exaspérée par les nombreuses critiques, la chanteuse vient de pousser un gros un coup de gueule dans un long message posté sur sa page Facebook.
Ce n’est plus un secret pour personne. Josey fait le chou gras des réseaux sociaux depuis la dernière sortie médiatique de l’international Ivoirien Serey Die. Invité sur l’émission «Â Life Week-end » diffusée sur Life TV en juin dernier, l’ancien capitaine des Eléphants de la Côte d’Ivoire avait annoncé non seulement être en couple avec la chanteuse Josey, mais aussi qu’il s’est séparé de sa femme légale Aline avec qui il a eu 5 enfant.
L’information avait fait l’effet d’une bombe et a suscité beaucoup de réactions mitigées sur les réseaux sociaux. Plusieurs internautes ont tiré à boulets rouges sur la chanteuse, l’accusant d’avoir volé le mari d’Aline. Face à ce scandale qui a duré plusieurs jours sur les réseaux sociaux, Josey était finalement montée au créneau pour demander pardon à Aline la femme légale du père de ses deux enfants, tous ses fans et au peuple Ivoirien.
« À Mes fans, À Ma nation, À Ma communauté, L’erreur est humaine et le pardon divin. Depuis quelques jours, vous êtes nombreux à réagir à une série d’informations mais également de spéculations impliquant, malheureusement, ma vie privée. Je suis une artiste qui devrait faire l’actualité, par la qualité de sa carrière musicale et servir de modèle aux plus jeunes. La vérité est que j’ai suivi mon cÅ“ur. Je ne suis qu’un être humain », avait-elle avoué avant de demander amende honorable.
«Â Pardon à mes fans, à mes parents, aux membres de ma communauté religieuse ainsi qu’à tous les chrétiens. Je continue d’apprendre de la vie, et je prie qu’Aline trouve un jour la force de me pardonner. J’espère pouvoir prendre appui sur vous, pour m’aider à avancer. Avec l’aide de Dieu, je tâcherai, à nouveau, de mériter votre confiance », avait écrit Josey sur sa page Facebook.
Plusieurs mois après ce scandale, Josey a repris de plus belle sa carrière et ne manque pas de poster les photos de ses spectacles sur ses réseaux sociaux. Cependant, certains internautes malgré son message de pardon continuent d’en vouloir à la chanteuse au point de lui souhaiter le mal. « Voleuse de mari », tel est le slogan qui résonne chaque jour sur les canaux de communication de la chanteuse.
Exaspérée, Josey a finalement décidé de répliquer à ses détracteurs à travers un message très piquant posté sur sa page Facebook dans la journée de mercredi 21 septembre.
Josey promet l’enfer à ses détracteurs
« Vous êtes trop marrants Ko Karma , Ko demain Eeehhh … à l’unanimité VOS B**AISEGUEULES dans mes affaires de uc. Vous n’êtes personne pour me dicter mes choix et ma vie. Un homme c’est pas une pompe à lavement qu’on vole comme dans les bas quartiers . Si vous avez trop mal , sucez le courant . Il n’y a rien de ridicule à cela et je n’ai aucune honte à vous le crier. Même en chanson je vous le dirai . Vous n’êtes ni maîtres de ma vie , ni décideurs quelconques de ma destinée. Donc VOS GUEULES !! » a lancé Josey.
Visiblement très énervée, la chanteuse se dit prête à rende désormais coup pour coup. « Tu as honte » loooolll … honte de quoi ? Vous faites trop rigoler. Bandes d’hypocrites. Consolez vous de vos spéculations, et continuez de vous m-a-s-turber sous mes photos. Désormais ce sera ma nouvelle version , vous pouvez ne pas m’aimer mais pour le peu de personnes sur qui je vais tomber , je vais leur imposer de me RESPECTER !!! Parce qu’une chose est sure , vous n’aimez pas là où on fait l’agneau. Vous adorez qu’on vous insulte. Je ne suis aucunement une froussarde. Et j’en ai marre d’être votre serpillière », a poursuivi l’auteur du titre Diplôme.
Une chose est sûre, Josey n’est plus prête à pardonner à ses détracteurs comme elle l’a d’ailleurs avoué. « On va sauf que se dire les vérités avec ou sans ar*mes, avec véhémence n’en déplaise à qui que ce soit jusqu’à ce que Marco me supprime et que vous n’ayez plus de moyens de me pro*vo*quer », a-t-elle conclu.