Elu, à la présidence de la Fédération camerounaise de football (FCAFOOT), depuis le samedi 11 décembre 2021, Samuel Eto’o ne serait pas en odeur de sainteté avec tous les membres du Gouvernement, selon l’avis d’un parlementaire, du nom de Joshua Osih, qui a livré de troublantes confidences, le dimanche 3 avril 2022, sur la STV (Spectrum television).
Le samedi 11 décembre 2021, l’ex- footballeur international, Samuel Eto’o, a été élu, à la tête de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT), en battant, dans les urnes, le président sortant, Seidou Mbombo Njoya.
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Samuel Eto’o, bête noire de membres du Gouvernement
Depuis, donc, son élection, comme président de la FECAFOOT, l’ancien joueur du FC Barcelone et de l’Inter de Milan est confronté à de sérieux problèmes, venant, notamment, de son propre camp. Alors que certains acteurs du sport-roi du Cameroun doutent de la capacité de l’ex-capitaine des Lions Indomptables, à diriger la FECAFOOT, d’autres ont, tout simplement, du mal à accorder leurs violons avec le Pichichi, pour la simple raison que, contrairement, à certains de ses prédécesseurs, l’homme n’est pas facile à manipuler.
En effet, le média local, actucameroun.com, relate l’information, selon laquelle le président de la FECAFOOT n’aurait, toujours, pas accès à son bureau, une information à prendre avec des pincettes, en tout cas.
Hier, dimanche 3 avril 2022, sur STV, l’Honorable Joshua Osih a déclaré que l’ex-artificier de l’équipe nationale de football du Cameroun n’est pas aimé par tous les membres du Gouvernement, pour la simple raison qu’il est un « électron libre ». « Pour la première fois, la différence, entre Samuel Eto’o et ses prédécesseurs, c’est que nous avons un candidat, qui n’est pas tenu à la laisse par le Gouvernement. », a lâché le député.
Le parlementaire, dans ses révélations, a dit que le Gouvernement n’a pas la mainmise sur la Fédération, version Eto’o. « La médiocrité du Gouvernement ne s’impose plus dans la Fédération. Et, ça, c’est la plus grande victoire. », s’est-il réjoui, avant de lancer ce qui ressemble à un appel à mieux faire les choses. « Si celui qui viendra, après lui, peut continuer sur ce pas, je suis sûr que, demain, on gagnera la Coupe du monde. », a-t-il proposé.
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Si ces révélations sont avérées, les Camerounais auraient, beaucoup, à gagner, en se serrant, plutôt, les coudes, quand on sait que le pays est qualifié, pour le Mondial Qatar 2022.