« La PLCC nous regarde », Josey met en garde ses détracteurs

Josey a été profondément affectée par les attaques de nombreux internautes, en raison de sa liaison controversée avec l’ex-footballeur ivoirien Serey Dié. Certains l’ont insultée, la qualifiant de « voleuse de mari ».

Grâce au soutien de ses proches et amis, Josey, qui pensait tout abandonner, a trouvé la force de revenir plus forte mentalement et sur la scène musicale ivoirienne. Elle a sorti deux albums post-crise intitulés « Cocktail » (2021) et « Vibration universelle » (2024). La chanteuse a également triomphé lors de plusieurs spectacles appréciés, dont le dernier au Casino de Paris où elle a fait salle comble.

Aujourd’hui, bien ancrée à nouveau dans le paysage musical et dans le cœur de nombreux Ivoiriens, Josey ne souhaite plus être perturbée par des attaques malsaines sur les réseaux sociaux. L’interprète de la célèbre chanson « Tout laisse » a décidé de passer à l’offensive. Le mardi 28 mai 2024, elle a publié un avertissement sévère à ses détracteurs sur sa page Facebook.

« Avertissement ! Affirmer un fait qui porte atteinte à l’honneur, à la considération ou à l’image d’une personne physique ou morale avec précision, même si cela est avéré ou pas, est une atteinte à l’honneur et à l’image. Le suspect salit l’image de la victime en proférant des propos injurieux et diffamatoires à l’endroit de la victime, via les réseaux sociaux, par SMS, ou WhatsApp. Cela peut être des écrits, des vocaux, des montages vidéos/images ou des appels. Cette infraction est passible d’une peine d’emprisonnement maximale de 5 ans selon l’article 367 du Code pénal ivoirien. Soyons responsables en ligne. La PLCC nous regarde. Mieux vaut prévenir que guérir’’, écrit-elle.

Ce message, très salé, s’annonce crucial pour la chanteuse ivoirienne qui collabore sur un single de la chanteuse camerounaise Blanche Bailly, qui va sortir le vendredi 31 mai et intitulé « Super Woman ».