Au lendemain de l’avènement du scandale Dubaï Porta Portty, la chanteuse ivoirienne Eudoxie Yao a été traitée de mangeuses de c*ca sur les réseaux sociaux. Par la suite, elle sera huée en pleine rue par les ivoiriens. Une situation qui a plongé l’artiste dans une dépression. Reçue sur l’émission « Accusé, levez-vous » de trace Côte d’Ivoire, Eudoxie qui était presque en larmes a avoué avoir pleuré suite à ces accusations qu’elle réfute en bloc.
Eudoxie Yao, encore appelée la go Bobaraba sur les réseaux sociaux a été huée sur la toile et en pleine rue en Côte d’Ivoire. Les fans l’accusent de faire partie du réseaux de femmes influenceuses qui se donnent à des pratiques peu recommandables à Dubaï pour des millions de francs CFA.
Les ivoiriens m’ont humiliée
Interrogée sur Accusé, levez-vous, Eudoxie Yao n’a pas pu cacher sa douleur . « Moi je pense que les ivoiriens m’ont humilié. Ils ont commencé à poster mes anciennes photos de Dubaï. Au début, j’en riais », a-t-elle dénoncé. Presqu’en larmes, la chanteuse a révélé avoir fondu en larmes après le lynchage qui lui a été infligé par les ivoiriens.
« Si je dis que je n’ai pas pleuré, je suis la plus grande menteuse de l’univers. La célébrité n’est pas éternelle. J’ai été blessée dans mon âme, ça me fait mal parce qu’on me rabaisse », a-t-elle expliqué. La star Eudoxie Yao a également décidé de quitter les réseaux sociaux pour éviter d’être la cible de potentiels détracteurs qui ont sauté sur l’occasion du scandale Dubaï Porta potty pour la dénigrer.
Le scandale Dubaï Porta Potty
Dubaï Porta Porty est un nom donné à une pratique des influenceuses africaines qui s’adonnent à des actes dégoutants à Dubaï, juste pour se faire de l’argent. Indignés par cette pratique, des voix s’élèvent pour condamner et dénoncer ce fait.
Dans la mêlée, les influenceuses africaines qui ont publié des images et ou vidéos prises dans le désert ou dans les hôtels de luxe de Dubaï ont été traitées de tous les noms. Elles sont soupçonnées par les internautes d’avoir participé d’une manière ou d’une autre à ce scandale.