De passage sur une chaine espagnole, l’ancienne compagne de Dani Alves, Dinorah Santana, a définitivement rompu les amarres avec le Brésilien, alors que l’ancien latéral du PSG croupit en prison pour des faits d’agression sexuelle sur une jeune femme à Barcelone
Toujours incarcéré depuis qu’il est accusé d’avoir violé une jeune femme dans une discothèque, Daniel Alves ne cesse de perdre ses soutiens. Aujourd’hui, c’est son ex-femme, Dinorah Santana, qui a fait savoir qu’elle ne voulait plus entendre parler de l’ancien défenseur brésilien.
« Pour moi, il n’existe plus, pour moi il est mort. J’ai toujours fait profil bas, je n’ai jamais fait de shows, je n’ai jamais fait de scandales… Tout ce dont j’ai parlé, et j’ai les WhatsApp ici, était orienté vers ce que j’avais à dire : «regardez, il va arriver à l’aéroport… », «tu vas avoir la presse», «tu vas dire ceci et cela», «lorsque tu sortiras de prison, tu diras ceci et cela». Personne n’a fait pression sur moi, mais je l’ai fait pour aider le père de mes enfants. Ils se sont servis de moi-même lorsque je l’ai aidé. Être les enfants d’un violeur présumé est une chose très désagréable. Je veux qu’il disparaisse de ma vie », a-t-elle confié à la chaîne de télévision espagnole Cuatro.
La déclaration de Dinorah Santana met en évidence les tensions et les désaccords qui se sont accumulés entre elle et Daniel Alves. Son ton amer et sa décision de s’éloigner complètement de son ex-mari témoignent des conséquences dévastatrices de cette affaire sur leur relation. Les accusations portées contre lui ont non seulement affecté la vie d’Alves, mais ont également eu un impact destructeur sur les personnes proches de lui.
Ces événements médiatiques soulignent une fois de plus l’importance d’aborder de manière responsable les allégations d’agression sexuelle et de préserver la dignité des victimes. En tant que société, il est primordial de soutenir les survivants et de veiller à ce que justice soit rendue dans les cas de violence sexuelle.