Depuis quelques jours, l’affaire, qui taraude les internautes, c’est le phénomène « Dubaï Porta Potty », qui a transformé des êtres humains en ce qui peut être appelé, « toilettes humaines ». Selon plusieurs médias, des influenceuses seraient impliquées dans cette histoire dégoutante. Au milieu de ce tohu-bohu, l’influenceuse ivoirienne, Eudoxie Yao, vient de faire une sortie, pour le moins, étonnante.
L’affaire « Dubaï Porta Potty », de par la façon, dont elle relayée sur les réseaux sociaux, devrait, déjà, battre les records d’audience. Ce phénomène choquant, qui a fait de certaines jeunes femmes, avides de gains faciles, de véritables « toilettes humaines », continue sa folle ruée sur les réseaux sociaux, alimentant les débats sur les plateformes virtuelles.
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Avec l’allure que prennent les choses, ce serait de l’ironie ou de l’hypocrisie d’entendre quelqu’un dire qu’il n’est pas au parfum de l’événement. La réaction de l’opinion publique serait, beaucoup plus, virulente, si l’avis sus-cité émanait d’une célébrité, à l’instar d’Eudoxie Yao, l’une des influenceuses ivoiriennes.
Eudoxie Yao se réveille de son long sommeil
Au détour d’une récente publication, sur les réseaux sociaux, en effet, la Go Bobaraba a, semble-t-il, laissé entendre qu’elle n’était au courant de rien, à propos de l’affaire « Dubaï Porta Potty », ce phénomène choquant, qui navigue dans toutes les eaux, depuis un bon moment. « Que se passe-t-il à Dubaï, mes bébés ? Affairez-moi oooo ! », peut être lu, sur la publication qu’a postée l’influenceuse ivoirienne, sur sa page Facebook, le samedi 30 avril dernier.
S’il faut accorder du crédit à la sortie de la bimbo ivoirienne, d’aucuns pourraient estimer que, dans ce cafouillage, où des influenceuses, notamment, sont citées dans cette sordide affaire, seule, Eudoxie Yao n’en savait rien !
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Alors, en guise de rappel, l’une des informations, qui défraient la chronique, ces dernières heures, c’est l’affaire « Dubaï Porta Potty », du nom de ces jeunes femmes, pour la plupart, de l’Afrique sub-saharienne, qui se transforment en de véritables « toilettes humaines », juste, pour se faire quelques billets de banque.
En termes clairs, la grande majorité des influenceuses, qui font la pluie et le beau temps, en se pavanant dans des palaces luxueuses et à bord de jets privés, entre autres, sont des « mangeuses » de caca humain. Plusieurs médias ont rapporté que tout est fait, après signature d’un contrat écrit. Les sources précisent qu’à la clé, chaque candidate touche, entre 15 000 et 20 000 dollars.
Ces informations devraient suffire à « affairer » Eudoxie Yao, au sujet de ce qui se passe, à Dubaï.