Après un an de crise, l’Espagne renoue des relations diplomatiques avec le Maroc. Le Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, s’est rendu jeudi au Maroc où il a rencontré le roi Mohammed VI.
Jeudi 7 avril 2022, le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez s’est rendu au Maroc où il a rencontré le roi Mohammed VI à Rabat. Les deux hommes ont « réitéré la volonté d’ouvrir une nouvelle étape dans les relations entre les deux pays », brouillés depuis un an.
Dans une déclaration conjointe, le souverain chérifien et le chef du gouvernement espagnol ont convenu d’inaugurer une étape inédite dans les relations entre les deux pays. L’un des premiers objectifs de cette nouvelle étape sera le rétablissement de la pleine normalité dans la circulation des biens et des marchandises aux postes frontaliers de Ceuta et Melilla explique le Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez.
Le palais royal marocain a précisé dans un communiqué que Mohammed VI « aura des entretiens officiels » avec Pedro Sanchez et « offrira également un iftar« , rupture du jeûne du ramadan, « en l’honneur » de son « illustre hôte ». Une invitation à la rupture du jeûne saluée par le chef de la diplomatie espagnole, José Manuel Albares, qui a indiqué, mardi, qu’elle est considérée à Madrid comme un « signe d’amitié très fort ».
Alger en colère
Si Pedro Sanchez a réfuté toute idée de « virage » sur ce dossier, il s’est mis à dos ses alliés de gauche et l’opposition de droite – comme le montre le vote des députés espagnols jeudi – mais aussi le Polisario et Alger, fournisseur de gaz de l’Espagne. Le quotidien algérien L’Expression a accusé jeudi l’Espagne d’avoir « trahi (…) le droit légitime du peuple sahraoui à son autodétermination » et dénoncé « le jeu dangereux de Sanchez venu, surtout, aggraver les tensions dans la région ».
La visite du dirigeant espagnol, à l’invitation du roi Mohammed VI, s’est inscrite « dans le cadre d’une nouvelle étape de partenariat » entre les deux royaumes voisins, marquant la fin d’une grave crise diplomatique. Comme attendu, les deux parties ont convenu de mettre en Å“uvre « une feuille de route couvrant l’ensemble des domaines du partenariat ».
De façade il n’y a rien de spécial San hez venez faire un hold-up car l’armée marocaine est faible par rapport à la foudre de l’armée algérienne classée mondialement 26 et que le général Chengriha commandant en chef de ces armées algériennes est sur le point d’envahir le maroc pour découdre avec ce serpent de mer qui est faible et cherche ou croit trouver une aide militaire de l’Espagne que cette armée équipée et classée mondialement 18 a toujours peur depuis la guerre d’Ifni alors le makhzen est déstabilisé et fait des fautes aucun niveau diplomatique adéquat c’est un makjzrn aux abois et que Sanchez un novice en politique se croit avec Philippe Gonzales avoir tout compris et se permettent de voler le maroc alors qu’il ny aucune stratégie pour un développement quelconque il n’y a que le hold-up que le gouvernement espagnol avec le mentor d’Albares se croit malin au détriment du peuple marocain certes un peuple pauvre misérable illettré et rancunier mais existent des marocains qui peuvent remettre les pendules à l’heure et don ce genre d’accord dépend du pouvoir en place à Rabat « tout flateur dépend de celui qui l’écoute » et ce n’est qu’une question de temps disait autrefois en 1963 le général Kettani à la guerre des sables