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AccueilNews - InfosPolitique"Tous les déplacements ne sont pas de la transhumance", Gérard Gbénonchi sur les démissions

« Tous les déplacements ne sont pas de la transhumance », Gérard Gbénonchi sur les démissions

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Le jeu de chaise musical actuel au sein des formations politiques à quelques mois des élections législatives de 2023 n’est pas de la transhumance. C’est l’avis du président de la commission des finances de l’assemblée nationale, Gérard Gbénonchi qui estime que tous les déplacements ne sont pas de la transhumance.

Les réformes du système partisan chantées à cor et à cri par le régime de la rupture sont actuellement éprouvées par la vague de démissions que subissent certains partis politiques. Le phénomène est plus observé au niveau des grands blocs politiques du chef de l’Etat. Alors que des voix s’élèvent de plus en plus pour déplorer l’échec des réformes politiques tant vantées par le pouvoir en place, le député Gérard Gbénonchi nuance la dynamique qui s’observe actuellement entre les partis politiques.

Pour ce responsable du parti Union progressiste, le renouveau, les mouvements de démissions enregistrés par certains partis politiques ces derniers jours ne sont pas forcément de la transhumance politique.

« Tous les déplacements ne sont pas de la transhumance… », a rassuré Gérard Gbénonchi

Ces déplacements font partie du processus …

Contrairement à ce qui se dit de ces vagues de démissions, le président de la commission des finances, l’honorable Gérard Gbénonchi affirme qu’il s’agit d’un processus normal qui va aboutir à terme à la stabilité de la réforme.

A en croire ce membre du bureau politique UP, le renouveau, plusieurs acteurs politiques après avoir opté pour la réforme du système partisan se rendent compte des contraintes et de la rigueur de la loi et sont désabusés. Mais de façon plus logique, indique le parlementaire, les déplacements actuels font partie du processus jusqu’à ce que celui-ci se stabilise.

Mais cette perception de la situation actuelle n’est que le point de vue du politique dont la formation politique est aujourd’hui bénéficiaire de la situation actuelle. Le spectacle désolant qu’offrent les acteurs politiques méritent que les réformes soient davantage repensées et que les failles laissées peut-être à dessein par le législateur puissent être fermées.

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