Les fièvres typhoïde et paratyphoïde sont des maladies infectieuses potentiellement mortelles en l’absence de traitement. Ces fièvres surviennent le plus souvent dans des zones où l’hygiène est précaire et frappent principalement les pays en voie de développement. Il urge donc de trouver des recettes pour les guérir. Découvrez alors dans cet article celle proposée par Claude Djankaki.
La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle et malheureusement courante dans les régions où les conditions de salubrité et d’hygiène sont déficientes. Elle se transmet généralement par l’ingestion d’eau ou d’aliments contaminés par des selles ou des sécrétions des personnes infectées, malades ou porteurs sains. D’après l’OMS, elle affecte chaque année 11 à 20 millions de personnes dans le monde et entraîne de 128.000 à 161.000 décès.
Pour alors guérir définitivement la fièvre typhoïde rebelle qui résiste aux hôpitaux, Claude Djankaki recommande de chercher les feuilles de kolatier ci-dessous (cola acuminata), appelé en Fongbé «Â gbègbè-ma », le fruit gbè-gbè que nous cherchions pour manger les fruits dans la rue, les mélanger à proportion égale aux feuilles de hlinwé (philantus amarus). Puis préparez et boire un verre 55cl trois fois par jour pendant 8 à 10 jours.
NB : Boire chaud supportable. La tisane se boit chaud pour guérir les maux. Si le tructurat, le décocnat, l’infusionnat, tuaient vraiment, aucune des générations avant les indépendances (65-70 ans) ne serait encore en vie.
L’on buvait son bol de tisane avant de passer devant les parents chercher les 2 centimes pour la récréation à l’école.