Un ancien sapeur-pompier et ex-boxeur nîmois, qui purgeait, déjà, une peine de 20 ans de prison, pour faits d’agressions s&xuelles sur mineur, vient d’écoper, à nouveau, de 30 ans de réclusion criminelle, pour le viol de la fille de sa compagne. La mère de la victime, accusé de complicité, dans cette affaire, écope, elle, de 15 ans de réclusion.
Selon les informations des médias français, notamment, dans un précédent article, la rédaction de Bénin Web Tv reprenait les faits d’agressions s&xuelles sur une fillette, à Nîmes, en France, des faits qui se sont déroulés dans le parloir de la prison de la même ville, alors que l’accusé, un ancien sapeur-pompier et ex-boxeur, y séjournait, déjà, pour des faits similaires. La présente publication n’est, alors, que la suite de ce feuilleton judiciaire.
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Au terme de l’audience, relatée par les sources françaises et reprise par votre site d’information, l’accusé, 52 ans, qui a fini par reconnaître les faits, a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle, jeudi 27 janvier 2022.
Or, selon les enquêtes de la police, il s’est avéré que cet ex-pompier volontaire n’est pas le seul coupable, dans cette affaire.
L’agresseur et sa compagne sur le banc des accusés
Au cours du réquisitoire, l’avocat général, Pierre Couttenier, cité par les mêmes sources, a mis en avant le rôle non-négligeable, joué par la compagne de l’accusé et mère de la victime. Selon Couttenier, rapporté par les médias, c’est elle, qui, en 2011, alors que sa fille avait 7 ou 8 ans, a «ouvert la porte» de sa maison à un homme qu’elle connaissait à peine.
Le représentant du ministère public a poursuivi ses arguments, en disant que, lorsque son compagnon a été incarcéré, pour des viols sur mineures, elle n’a pas voulu croire à sa culpabilité. Elle a, alors, forcé sa fille à l’accompagner, 107 fois, au parloir de la maison d’arrêt de Nîmes, où il lui imposera des pénétrations digitales, jusqu’en janvier 2016.
Pour sa défense, la compagne et mère de 51 dit n’avoir rien remarqué, sauf que ses arguments n’ont convaincu, ni les juges, ni les jurés. Au sortir du verdict, elle a été condamnée à 15 ans de prison, soit 5 de plus que ce que réclamait l’accusation.
Les deux condamnés ont 10 jours pour faire appel.