En conférence d’avant match ce vendredi, le sélectionneur de l’Australie, coorganisateur de la Coupe du monde féminine 2023, espère se servir de la ferveur populaire et de la pression pour battre la France.
Auteur d’un parcours très maîtrisé jusqu’ici, l’Australie, l’un des pays organisateurs de la compétition, affronte ce samedi la France, en quarts de finale de la Coupe du monde féminine 2023. A la veille de ce choc, le sélectionneur des Matildas Tony Gustavsson a cherché à mettre toute la pression sur l’équipe tricolore, en faisant d’elle la favorite de la rencontre.
« J’ai affronté la France chez elle en quarts de finale avec les Etats-Unis en 2019. Je sais ce qu’elles ont vécu. Évidemment, la France arrivera avec beaucoup de confiance contre nous, en étant agressive dès le début du match. Mais je sais aussi que c’est une opportunité énorme pour elles aussi et qu’elles seront sous une immense pression par rapport à ce qu’elles veulent réussir pendant ce tournoi.« , a-t-il déclaré ce vendredi, face à la presse, relayé par RMC Sport.
L’Australie aura l’avantage de disputer ce match dans son stade de Brisbane, qui sera entièrement acquis à sa cause. Un autre atout selon le sélectionneur australien. « Le fait de jouer devant notre public, on l’a dit depuis le début, on ne ressent même pas la pression. On a juste l’impression d’être portés par les supporters.« , a enchaîné le technicien lors de son passage devant les médias.
Pour rappel, l’Australie avait battu la France (1-0) en amical, juste avant le début de cette Coupe du monde féminine 2023. Rendez-vous ce samedi, pour savoir laquelle des deux nations l’emportera cette fois-ci.