Deux homosexuels ont réussi à attirer un jeune homme, dans une chambre d’hôtel, à Yaoundé, au Cameroun, et ont tenté de l’agresser, sexuellement. Fort heureusement, les cris de détresse de la victime ont atteint les oreilles du personnel de l’établissement.
Les médias locaux informent qu’un jeune homme aurait croisé, sur Facebook, une correspondante, répondant au nom de « Chouchou ». Le garçon, la vingtaine, réside dans le quartier Manguier, à Yaoundé.
Tombé sous le charme de sa dulcinée virtuelle, le vingtenaire consent à se rendre à un lieu de rendez-vous, fixé par son amie-Facebook, quelque part, dans la capitale politique du Cameroun, selon les faits, rapportés par ABK Radio, un média local. Mais, en lieu et place d’une femme, le jeune homme tombe, nez-à-nez, avec deux hommes, nus comme des vers de terre.
Citant des témoins de la scène, la source ajoute que le personnel de l’hôtel a été alerté par les cris de détresse du garçon, ce qui a permis d’aller à son secours et de l’arracher des griffes de ses agresseurs. Les deux prédateurs sexuels, après avoir passé un mauvais quart d’heure, n’ont eu la vie sauve que grâce à l’arrivée des forces de l’ordre, qui se sont saisi de l’affaire, pour des enquêtes plus approfondies.
Notons que la législation camerounaise sanctionne les relations entre individus du même sexe. « Est punie, d’un emprisonnement de six (06) mois à cinq (05) ans et d’une amende de vingt mille (20 000) à deux cent mille (200 000) francs, toute personne qui a des rapports sexuels avec une personne de son sexe. », selon les termes de l’article 347-1 bis du Code pénal camerounais, promulgué par la loi N° 2016/007 du 12 juillet 2016.