Ibrahim Traoré, Président du Burkina Faso, aspire à mettre un terme à la tolérance envers l’inertie au sein de la fonction publique. Il ne tolérera plus la présence d’agents de l’État faisant preuve de paresse, de laxisme, ou de corruption.
Le Président Traoré annonce une transition vers une approche plus ferme, mettant fin aux agissements des fonctionnaires peu scrupuleux. En effet, il a exprimé clairement son intention lors d’une réunion avec le personnel de la Présidence, lançant ainsi un avertissement formel à l’ensemble des agents publics.
Le chef de l’État dénonce les comportements non exemplaires adoptés par certains fonctionnaires, notamment la lenteur administrative délibérée perpétrée par ceux censés accomplir leur travail. De plus, il condamne les cas où des individus sont embauchés pour des tâches qu’ils n’accomplissent pas, puis réclament des primes additionnelles. D’ailleurs, le Président insiste sur la nécessité d’éradiquer de telles pratiques, affirmant que la lenteur administrative doit prendre fin. Il souligne l’importance de l’accomplissement des tâches assignées, mettant en avant le principe du devoir envers la patrie.
Ainsi, le régime militaire s’engage à insuffler une nouvelle dynamique à l’administration publique, transformant également la gestion des affaires publiques au Burkina Faso. Notons que le Président de la junte militaire a été catégorique dans ses déclarations, annonçant un changement significatif chez les « Hommes intègres ».