Bon à savoir: Voici ce qui vous arrive quand vous vous masturbez
Beaucoup de personnes, surtout les hommes s’adonnent à la pratique de la masturbation de nos jours. Or cette pratique a des effets négatifs, tant sur le plan spirituel, que sanitaire. Voici trois risques de cette pratique sur le corps.
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La masturbation est le fait pour un homme de se donner seul du plaisir, en simulant un acte sexuel, le plus souvent en s’aidant de caresses et de mouvements de vas et vient sur son sexe. Cette pratique, qui est malheureusement devenue, monnaie courante de nos jours, est regorgée d’effets négatifs sur le corps humain. En voici quelques uns.
La masturbation influe la qualité du sperme
Si les épisodes de masturbation sont très rapprochés, elle peut influer sur la qualité du sperme. « Après une période réfractaire, l’homme peut recommencer à avoir une pénétration et une masturbation mais il faut 3 jours pour que le fluide soit complet. S’il recommence une fois tous les jours (à se masturber, ndlr) il se peut que le sperme ne soit pas complètement de qualité », explique Karine Artaud. Elle poursuit en ajoutant : « dans ce cas, le sperme est plus clair, plus fluide et contient moins de spermatozoïdes mais ça ne veut pas dire qu’il n’y en a pas. Quand il est plus laiteux, là il y a une quantité prononcée de spermatozoïdes. Cette influence est d’autant plus marquée que l’homme est âgé ».
La masturbation nuit à l’érection
Pour la psycho-sexologue quand l’on arrive sur des masturbations compulsives, Cela va jouer sur la qualité et il y aura beaucoup moins d’érection. En dehors du stade de la compulsion, les effets dépendent de chaque homme : « Je rencontre beaucoup d’hommes à qui ça va très bien de se masturber une fois par jour et que ça n’empêche pas d’avoir des rapports fréquemment. D’autres se masturbent deux ou trois fois par semaine sans que ça nuise à leur érection » argue-t-elle.
La masturbation favorise l’éjaculation précoce
Selon le spécialiste, l’éjaculation précoce fait partie des troubles inhérents à la masturbation rapide et compulsive. Il a poursuivi en rappelant que « le cerveau est le premier organe sexuel et que l’on peut vite déborder si on n’y prend pas garde ». En effet, l’homme qui a l’habitude de se masturber vite, donc d’éjaculer tout aussi rapidement, envoie un message à son cerveau qui enregistre un schéma comportemental de rapidité. Dès lors, quand il se masturbera seul ou avec sa partenaire ou lors de la pénétration vaginale, l’éjaculation pourra se déclencher beaucoup plus précocement.