Les pourparlers de paix ont débuté en Tanzanie entre le gouvernement éthiopien et l’Armée de libération oromo (OLA), un groupe considéré comme « rebelle » par Addis-Abeba. Cette initiative a été saluée par l’Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD) qui espère un aboutissement positif pour ce processus de paix.
Les pourparlers de paix entre l’Ethiopie et le groupe « Oromo » ont débuté le mardi 25 avril à Zanzibar en Tanzanie. Cette rencontre a été précédée d’une annonce du Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed qui avait confirmé la tenue de discussions avec les « Oromo ». Ces derniers sont considérés comme un groupe rebelle et actif dans la région la plus vaste et la plus peuplée du pays.
Ce processus de paix est une réponse aux conflits qui opposent certains groupes ethniques en Éthiopie, notamment les Amhariques et les Oromo, qui dénoncent « de nouvelles injustices ». L’initiative a été saluée par l’Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD) qui espère que ces pourparlers aboutiront à une solution durable pour la paix et la stabilité en Éthiopie.
Le début des pourparlers de paix entre l’Ethiopie et le groupe « Oromo » est un pas important vers une résolution pacifique des conflits qui secouent le pays. Cette initiative doit être soutenue et encouragée pour permettre une paix durable en Éthiopie. Les discussions en cours doivent être menées dans un esprit de dialogue et de compromis, avec l’objectif de parvenir à un accord qui soit bénéfique pour toutes les parties impliquées.