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AccueilNews - InfosPolitique"Il ne faut pas que les mouvanciers racontent ce qu'ils veulent", JB Elias sur le code électoral

« Il ne faut pas que les mouvanciers racontent ce qu’ils veulent », JB Elias sur le code électoral

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Le président du Front des organisations nationales contre la corruption (FONAC), Jean-Baptiste Elias profite des élections présidentielles aux Etats Unis pour revenir sur le code électoral béninois et rétablir des contre-vérités distillées dans l’opinion par les partisans du pouvoir de la rupture.

Au micro de la webradio Crystal news, l’ancien président de l’ex autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC) a affirmé que l’élection présidentielle aux Etats Unis est un démenti aux acteurs politiques béninois qui, pour soutenir le code électoral exclusif de mars dernier font des comparaisons qui ne tiennent pas.

Selon Jean-Baptiste Elias, contrairement à ce que beaucoup croient, il n’y a pas deux candidats en lice pour les élections présidentielles de ce mardi 5 novembre 2024 aux Etats unis. A l’en croire, il y a au total six candidats en lice pour ces élections.

Pour lui, ceux qui disent qu’il faut copier les Etats unis et pour cela, il ne faut avoir que deux ou trois candidats maximum pour les élections présidentielles de 2026 ne sont pas dans la vérité. Mieux, précise t-il, il n’y a pas de parrainage pour exclure de candidats et les partis politiques ne sont pas les seuls à présenter de candidature. Pour la présidentielle de ce mardi aux USA, il y a deux candidats indépendants, a rappelé le leader de la société civile.

Poussant sa comparaison plus loin, il a fait savoir que le Ghana, que les soutiens du régime de la rupture ont cité en exemple n’impose pas le parrainage non plus. Et pour les élections du 7 Décembre prochain, il y a 13 candidats en lice dont quatre candidats indépendants.

Jean-Baptiste Elias évoque également le cas du Sénégal où le parrainage est légalement institué. Pour les élections législatives du 17 novembre prochain, le parrainage est suspendu afin de permettre aux candidats d’aller vers le peuple pour que le peuple fasse librement son choix. C’est un principe sacro-saint dans toutes les grandes démocraties, martèle-t-il.

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« Il ne faut pas que les mouvanciers racontent ce qu’ils veulent et faire des comparaisons qui ne tiennent pas avec des pays qui ne sont pas dans la même ligne que nous« , a-t-il conclu.

Pour rappel, certains acteurs politiques pour répondre aux polémiques suscitées par le code électoral adopté en mars 2024, affirme que le Bénin n’a rien inventé et veut simplement prendre exemple sur de grands pays comme les Etats-Unis, le Ghana et le Nigéria.

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