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Législatives 2023 au Bénin: « les femmes FCBE » se mettent en ordre de bataille

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Après la remobilisation des troupes lancée par le Secrétaire exécutif nation Paul Hounkpè, les femmes militantes du parti Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) se mettent en ordre de bataille en prélude des législatives de 2023. Elles se sont officiellement constituées en mouvement pour mieux défendre leur formation politique.

A quelques mois des élections législatives de 2023, le réseau des « Mouvements de femme FCBE » voit le jour pour consolider l’encrage national des « Cauris ». L’objectif, c’est de permettre au parti d’engranger un nombre impressionnant de députés à l’issue du prochain scrutin législatif. L’installation du réseau porte d’ailleurs sur le thème : « les femmes FCBE face aux défis des législatives de 2023 ».

Le réseau des femmes qui sera installé aujourd’hui est un redoutable bataillon d’amazones dont le parti a besoin pour les combats électoraux à venir.

Marie Atayi, Secrétaire nationale chargée des affaires féminines.
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Selon Isabelle Arékoya Allé, Coordonnatrice nationale, le réseau des mouvements de femmes FCBE est créé dans la droite ligne des nouvelles réformes politiques qui demandent une organisation bien structurée des partis. « La gestion des formations politiques devient de plus en plus complexe. En dehors du fait que le parti politique doit être géographiquement implanté sur toute l’étendue du territoire national, il est indispensable que certaines catégories spécifiques de militants soient organisées en réseaux afin de conduire librement leur propre mobilisation », a-t-elle déclaré.

Le réseau dénonce un débauchage sauvage au sein du parti FCBE

Profitant de l’occasion de son installation officielle, le réseau des mouvements de femmes FCBE a opiné sur deux sujets d’actualité concernant leur formation politique. « Deux sujets retiennent notre attention lorsque nous scrutons l’actualité politique de notre pays ces dernières semaines », a précisé la Coordonnatrice.

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Le premier sujet abordé est celui des démissions enregistrées dernièrement au sein du parti. Selon Isabelle Arekoya Alle, « il ne s’agit point de démission mais plutôt de débauchages ». « Lorsque des conseillers élus sur la liste cauris se font acheter par un autre parti politique durant leur mandat, cela ne s’appelle pas démission, parce que les déserteurs ou transhumants ne sont pas libres de leur choix, ils sont harcelés, parfois menacés puis soudoyés en fin de compte », a-t-elle ajouté.

La nomination du Chef de file de l’opposition conformément au texte en vigueur, est le second sujet évoqué par la responsable du réseau. Elle dit ne pas comprendre la lenteur administrative qui empêche depuis longtemps Paul Hounkpè d’entrer confortablement dans ses fonctions. « Monsieur le Secrétaire Exécutif National, quand est-ce que vous entrerez dans vos droits en votre qualité de Chef de File de l’opposition ? Nous ne demandons que le respect des lois de la République », a martelé Isabelle Arekoya Alle.

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