« J’ai couché avec mon fils pour donner un enfant à  mon mari », les confidences d’une mère ébranlent la toile

Matina Agawua, originaire de Yelwata, dans l’État de Nasarawa, a perdu son premier mari lors d’une attaque de bergers dans le nord du Nigéria. Son premier mariage a engendré un fils. Elle s’est remariée des années après la mort de son mari mais a eu des difficultés à avoir un enfant avec son deuxième mari, M. James.

Après six ans de mariage sans enfant, Matina a commencé à subir des pressions de la part de sa belle-mère et de son mari actuel pour avoir un enfant. Son mari l’a même menacé de prendre une nouvelle épouse. Pour ne pas permettre à une autre femme de venir dans leur maison, qu’elle avait construite son mari, elle a décidé de trouver un plan B immédiatement.

C’est ainsi que Matina a eu le réflexe de coucher avec son fils adolescent de son premier mariage pour voir si elle pouvait avoir un enfant pour son deuxième mari. « Nous étions mariés depuis plus de six ans mais n’avions toujours pas d’enfant à cause de la faute de mon mari, selon le rapport du médecin, et j’entendais qu’il prévoyait de prendre une seconde femme au motif que je ne pouvais pas lui donner un enfant », a déclaré Matina à The Nation.

« J’avais besoin d’être sûre de ma fertilité… »

Matina a ajouté qu’elle avait subi un test elle-même puisque son mari avait refusé d’y aller, et le résultat a montré qu’elle n’avait aucun problème sur le plan médical. Pour prouver qu’elle est fertile, elle a décidé d’attirer son propre fils, étudiant à Akwanga, dans une affaire secrète, tout en l’avertissant de garder le secret.

« Puisqu’il n’est pas à l’aise avec nous pour un examen médical en supposant qu’il n’y a rien de mal avec lui, j’ai décidé de convaincre mon petit fils, qui a à peine 16 ans et qui est scolarisé à Akwanga. Je lui ai rendu visite régulièrement. Il vit dans un appartement privé avec mes proches, alors j’allais là-bas pour passer du temps avec eux, surtout le week-end lorsque mon marché est fermé. C’était en fait difficile de faire l’amour avec mon propre fils, mais les circonstances m’ont forcé à m’y mettre. J’avais besoin d’être sûre de ma fertilité », a-t-elle indiqué.

Et d’ajouter: « Je connais très bien mon mari. S’il découvrait que j’avais une liaison avec un homme à l’extérieur, il me tuerait. Je l’aime tellement et j’ai peur de lui, alors ce plan diabolique n’arrêtait pas de résonner dans mon esprit pour savoir à quel point je suis fertile. Un jour fidèle alors que j’étais en période d’ovulation, je lui ai rendu visite. C’était vers 23 heures. Je lui ai tenu la main et l’ai fait asseoir à côté de moi. Je lui ai demandé s’il avait déjà eu des relations sexuelles et il a dit non. Je l’ai tenu dans mes bras. Cette fois, j’ai eu chaud et je pense que lui aussi. Après cette nuit, je me suis senti extrêmement gêné et coupable d’avoir commis une telle abomination avec mon propre fils. mais je l’ai averti de garder le secret. »