La diffusion de quelque 30 vidéos érotiques, sur les réseaux sociaux, secoue la toile, suscitant des commentaires, qui vont dans tous les sens. Le partage de ces images est parti d’un challenge, lancé par de jeunes élèves, au Sénégal.
Le lancement d’un challenge a viré à la dépravation des mÅ“urs, créant des remous, sur les réseaux sociaux. Selon les recoupements, recueillis de sources d’informations locales, il est apparu que de jeunes élèves de Mbour, une ville de l’ouest du Sénégal, dont l’âge serait compris, entre 18 et 21 ans, auraient mis en place, un challenge, qui consisterait à divulguer des vidéos de relations sexuelles.
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Âgés de 18 à 21 ans, ces élèves jouent des acteurs de films X
Sur les premières images, quelque 30, qui font, déjà, la ronde des réseaux sociaux, de jeunes individus sont vus, en train de se livrer, à cÅ“ur joie, à des actes sexuels, montrant toute forme de figure, à la limite, pornographique, informent les mêmes sources.
Selon le quotidien sénégalais, La Tribune, la vue de ces éléments visuels donne l’impression que l’acte a été planifié, depuis de longues dates, et que, maintenant, les internautes ne prennent connaissance que des résultant. Sans crier gare, ajoute le média, ces jeunes individus se filment, à tour de rôle, dans ce qui peut être qualifié d’une ambiance de totale extase.
Le plus grave dans cette affaire, qui défraie la chronique, depuis quelques moments, c’est que les protagonistes féminins, de très jeunes filles, exhibent des figures, qui pourraient rimer avec de vraies scènes pornographiques. Face à cette situation, précise le journal, plusieurs parents ne savent pas, où donner de la tête, et prient, pour que leurs enfants ne fassent pas partie de ces apprentis acteurs de films X.
Il importe de préciser que ces vidéos ont, d’abord, été diffusées, via des fora WhatsApp, avant d’inonder le reste des autres plateformes virtuelles.
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Au-delà de tout, une question taraude les esprits : quand de très jeunes individus, qui plus est, des élèves, se livrent à des actes osés, bravant les bonnes mÅ“urs, à qui faut-il imputer la faute, les parents ou les pouvoirs publics ?