Brésil: un médecin arrêté pour agression s3xuelle sur une femme enceinte en pleine césarienne
Un médecin anesthésiste a été arrêté pour avoir prétendument agressé s3xuellement une femme enceinte lors d’une césarienne. Ses collègues qui l’ont filmé secrètement pensent qu’il est un habitué des faits.
Giovanni-quintella-bezerra medecin accusé de viol
C’est une histoire qui fait froid dans le dos. Giovanni Quintella Bezerra, 32 ans, a été arrêté pour suspicion de viol après avoir été secrètement filmé en train de satisfaire sa libido dans la bouche d’une femme enceinte qu’il a pris le soin d’endormir profondément. Les faits se sont déroulés à l’hôpital da Mulher de São João de Meriti, Rio de Janeiro au Brésil.
Comme le rapporte le DailyMail, le mari de la femme a reçu l’ordre de quitter la pièce et n’a découvert ce qui était arrivé à sa femme que lorsqu’il a reconnu le médecin à la télévision après son arrestation.
« Je n’ai jamais rien vu de tel », a déclaré la déléguée Barbara Lomba, chargée d’enquêter sur l’affaire. La femme a dit à sa famille qu’elle pensait avoir eu une hallucination au moment de l’agression sexuelle.
Le jeune médecin anesthésiste, qui a terminé sa formation deux mois plus tôt, n’a jamais imaginé être mis à nu par ses collègues. La même source rapporte que ses collègues de l’hôpital s’inquiètent énormément de la quantité de médicaments qu’il administrait aux patients. « Il utilise tellement d’anesthésique que les mères sont souvent incapables de tenir leur bébé après l’accouchement », a indiqué un personnel de l’hôpital.
C’est suite à cette remarque que le personnel du Bloc opératoire a finalement décidé d’installer une caméra secrète dans la pièce pour voir ce qu’il faisait. Ils ont été horrifiés de le voir agresser sexuellement la femme. La vidéo d’agression a duré près de dix minutes.
D’autres victimes en cours de confirmation…
Il se peut que cette jeune femme ne soit pas la première victime de Giovanni Quintella Bezerra. Ses collègues du bloc opératoire qui ont enregistré le viol ont déclaré à la police que le médecin avait déjà effectué deux procédures similaires ce jour-là. La police a donc ouvert une enquête pour savoir si ces deux femmes avaient également été victimes d’agression.
