Marchés urbains modernes: l’ANaGeM fixe les redevances journalières pour les occupants
Les tarifs d’occupation des étals dans les marchés urbains modernes sont désormais officiellement connus. L’Agence nationale de gestion des marchés (ANaGeM) a rendu publique la grille des redevances à payer par les différents corps de métier installés dans ces infrastructures commerciales, tant à Cotonou que dans plusieurs villes de l’intérieur du pays.
Le marcheÌ urbain de CadjeÌ€houn
Dans les marchés de Cadjèhoun, Aïdjèdo, Gbégamey, Mènontin, Midombo, Tokplégbé, Wologuèdè, Ganhi et Hlazounto, situés à Cotonou, les tarifs journaliers se déclinent comme suit :
Étals de produits divers : 600 FCFA
Étals de bouchers et de poissonniers : 700 FCFA
Étals d’écailleurs : 200 FCFA
Étals de déplumeurs : 350 FCFA
Ces montants correspondent respectivement à des redevances mensuelles de 18 000 FCFA pour les vendeurs de produits divers, 21 000 FCFA pour les bouchers et poissonniers, 6 000 FCFA pour les écailleurs et 10 500 FCFA pour les déplumeurs.
Des tarifs harmonisés dans les villes secondaires
Dans une publication diffusée sur sa page Facebook, Serge Nonvignon, cadre de la direction de la communication de la Présidence, a révélé les tarifs en vigueur dans plusieurs autres marchés en dehors de la capitale économique. Il s’agit notamment des marchés de Ahouangbo (Porto-Novo), Houndjro (Abomey), Djougou et Parakou.
Dans ces localités, la grille tarifaire est légèrement inférieure :
Étals de produits divers : 450 FCFA/jour, soit 13 500 FCFA/mois