Depuis quelques jours, circule, sur les réseaux sociaux, une sextape, impliquant la tiktokeuse béninoise, Folake Boko. Suite à la diffusion de l’élément visuel, l’intéressée est sortie de sa réserve, pour remettre les pendules à l’heure.
Décidément, depuis le début de l’année 2022, d’aucuns seraient tentés de dire : à chaque jour, sa sextape. La dernière en date, si c’est possible de le dire, c’est la diffusion d’une vidéo, montrant une jeune femme, en train de se faire enfourcher par un jeune homme.
Selon ce qui se raconte, à propos de cette vidéo, il s’git de la tiktokeuse béninoise, Folake boko. Après la diffusion de la sextape, l’intéressée a tenu à apporter sa part de vérité, dans cette affaire, qui est en train de ternir son image.
Dans une vidéo sur son compte Tik Tok, Folake Boko dément, formellement, être l’actrice de cet enregistrement, contrairement, à la version, qui est publiée par bon nombre de médias. « (…) C’est parce que je vous insultés-là, que vous êtes partis chercher vidéo dans laquelle il y a Folake. Bien vrai, j’ai entendu Folake, mais c’est pas moi. », a-t-elle déclaré, demandant : « M’avez-vous vue, une fois, me faire faire des tresses roses ? », comme pour appuyer son démenti.
La Béninoise, qui a plus de 25 000 abonnés sur le réseau social chinois, poursuit : « Ce n’est pas moi, je ne filme pas mes rapports sexuels », lançant une pique à ses détracteurs, dans un éclat de rire : « Vous allez mourir ! »
Samedi 12 février 2022, alors que la sextape, publiée, jeudi dernier, avait, déjà, fait son petit bonhomme de chemin et que Folake avait nié en bloc, son implication dans ce dossier, la tiktokeuse est revenue, pour accréditer l’authenticité de la vidéo et confirmer sa participation à la production de cette vidéo érotique.
Au détour de la diffusion de messages en diaporama, La Béninoise affirme que ladite vidéo date de 3 ans et que sa diffusion, ces derniers jours, n’est qu’une démarche, pour ternir son image.
Cependant, l’intéressée a annoncé qu’elle allait porter plainte, dès les premières heurs de ce lundi 14 février 2022. Dans la foulée, elle invite les victimes de ce genre de publication, à en dénoncer les auteurs.