Suite au coup d’État au Niger, l’Italie a emboîté le pas à la France en annonçant à son tour, l’évacuation de ses ressortissants présents dans le pays. Cette décision intervient dans un contexte de tensions politiques et sécuritaires suite à la prise de pouvoir par le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP).
Le coup d’État survenu au Niger a suscité des inquiétudes croissantes concernant la sécurité des ressortissants étrangers présents dans le pays. Après la France, qui a annoncé l’évacuation de ses citoyens, l’Italie a également pris la décision de rapatrier ses ressortissants de manière préventive.
La situation au Niger est marquée par une tension politique depuis la prise de pouvoir du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), qui a mis fin aux fonctions du Président Mohamed Bazoum. Ces événements ont incité la France à évacuer jusqu’à 850 de ses ressortissants et environ 1 500 personnes au total, en raison de la fermeture de l’espace aérien et des violences récentes contre l’ambassade de France à Niamey.
L’Italie suit désormais cette voie en annonçant son intention d’évacuer ses propres ressortissants présents au Niger. Cette décision vise à assurer leur sécurité et à prévenir tout risque potentiel résultant de la situation politique instable dans le pays.
La décision de l’Italie de rejoindre la France dans l’évacuation de ses ressortissants au Niger met en évidence l’importance cruciale de garantir la sécurité des citoyens étrangers dans les régions à risque. Alors que le pays traverse une période de transition politique, la situation reste volatile, et la communauté internationale surveille de près l’évolution des événements au Niger.
La stabilité et la sécurité au Niger restent une préoccupation majeure, et les efforts concertés de la communauté internationale sont essentiels pour contribuer à un avenir pacifique et prospère pour le peuple nigérien et pour tous les ressortissants étrangers qui se trouvent actuellement dans le pays.