Au lendemain de sa présentation à la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme Criet, la tiktokeuse Maman Dilara a présenté des excuses publiques à toutes les personnes qu’elle a offensé à travers ses polémiques qu’elle alimente sur le réseau social tiktok.
Mercredi dernier, le procureur spécial près la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme Criet a ordonné que la garde à vue de la Tiktokeuse à polémique Maman Dilara soit prolongée au vendredi 11 novembre 2022.
Comme ce fut le cas pour Eustache, le très zélé tiktokeur béninois, ce jeudi matin, maman Dilara a fait un live sur le réseau social tiktok pour présenter ses excuses publiques à ses victimes. Selon les informations de BENIN WEB TV, le live a été fait depuis le commissariat où elle est gardée à vue.
Les excuses publiques de la tiktokeuse Maman Dilara
Dans son live, elle révèle que la restauratrice l’accuse de l’avoir livré à la vindicte populaire dans l’affaire l’opposant à Eustache Hounkanlin. « Je leur ai demandé pardon devant le procureur, je demande à Sessimè de m’excuser si je l’ai offensé. Je l’ai déjà fait et je le refais parce que , que je le veuille ou pas elle est notre artiste. Je n’appellerai plus ton nom dans mes histoires« , a-t-elle promis.
Pour ce qui concerne les jumelles, Maman Dilara a fait le même exercice sous ordre du procureur. « Fanny Senan et Fannya , on a eu à se dire des choses sur le réseau, je vous ai dit des « trucs » et aujourd’hui je m’en excuse, je vous demande pardon si jamais, j’ai offensé votre famille, votre belle famille (…).
Tout ce que Maman Dilara retient de son interpellation, c’est que la liberté n’a pas de prix ». C’est pourquoi, dit-elle, « je demande à mes abonnés de laisse la dame (Thiam Ndlr) tranquille. Ce qui compte et ce qui est très important aujourd’hui, c’est la liberté », a-t-elle précisé.
A noter que, plusieurs personnes dont les chanteuses Sessimè, Fanny Senan , Fannya et une restauratrice identifiée comme Tyam accusent la polémiste tiktokeuse de diffamation et injures graves. Des accusations qu’elle ne nie pas mais demande pardon pour retrouver sa liberté.