Vie de couple: 07 choses insolites mais vraies à connaître sur l’orgasme
L’orgasme est le point culminant du plaisir sexuel, le plus haut point de l’excitation génésique. Autrement dit, c’est la jouissance sexuelle. Voici 7 choses insolites mais vraies à connaitre sur ce fait.
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L’orgasme est une réponse physiologique à une excitation sexuelle, qui se traduit par un plaisir intense et une contraction des muscles du périnée. Les battements du cœur s’accélèrent. La respiration également. Chez l’homme, il s’accompagne généralement de l’éjaculation. Chez la femme, ce sont tous les muscles du vagin qui vont se contracter, tandis que le clitoris se rétracte.
Cependant il existe des choses insolites, mais vraies qui doivent être connues sur ce fait. Nous vous amenons donc à leur découverte
Les femmes ont moins d’orgasme
Vous pourriez vous dire que vous le saviez, mais ce que vous ignoriez, c’est que le fossé orgasmique entre l’homme et la femme est bien réel. En effet, une femme sur quatre affirme ne pas avoir obtenu d’orgasme au cours de son dernier rapport sexuel.
L’orgasme rend plus bavard
L’orgasme entraîne la libération d’ocytocine dans le corps1, qui procure un grand sentiment de bien-être. Cette hormone est non seulement connue pour être l’hormone de l’amour mais également celle de la confiance1,2. Ainsi, une personne est plus susceptible de se confier à son partenaire après avoir expérimenté un orgasme.
L’orgasme peut passer inaperçu
Il peut arriver que les hommes aient des éjaculations sans ressentir de plaisir. Ce phénomène est tout de fois plus présent chez les femmes, qui n’interprètent alors pas l’orgasme comme tel et ressentent plutôt des spasmes.
L’orgasme réduirait les risques de cancer du sein et de la prostate
L’ocytocine, l’hormone libérée lors de l’orgasme, en particulier féminin, réduirait les risques de cancer du sein. En effet, elle aurait la capacité de limiter la prolifération des cellules cancéreuses du sein1. De la même façon, des éjaculations fréquentes, à raison de 3 fois par semaine, permettraient de réduire de 15 % le risque d’apparition du cancer de la prostate chez l’homme.