César Kouame, le jeune invité chassé du plateau de la nouvelle émission animée par Yvidero, brise enfin le silence. Il est revenu sur les faits et a fait savoir ses ressentis.
L’histoire d’expulsion de César Kouame de l’émission «Â Yvidero Show », le vendredi 25 octobre 2021, est une source d’indignation sur la toile. En effet, après avoir traité son invité de menteur, l’animatrice Yvidero a demandé à ce dernier de vider les lieux. Pour certains internautes, c’est une mise en scène.
Mais pour la victime même, ce n’était pas une mise en scène. Joint par par la rédaction du site d’information RTI Info, César Kouame a confié qu’il était «Â choqué et dépassé » par l’attitude de l’animatrice. Il a continué en notifiant qu’il espérait une réconciliation avec Yvidero, après leur conflit judicaire autour d’une fameuse histoire de vol de projet d’émission.
« J’ai été invité le mardi 19 octobre par Elisée Dangui qui est un chroniqueur de l’émission de Yvidero. Il me disait que c’était une émission de divertissement où on aura l’occasion de se réconcilier devant les Ivoiriens et que c’était très bien si je venais », a-t-il confié. Seulement, les choses ont fini par tourner au vinaigre.
« Elle profite de cette lucarne à elle pour humilier toutes les personnes avec qui elle a eu des litiges. Je pense que c’est le véritable but de cette émission et c’est bien dommage. J’ai pensé que c’était une occasion idéale d’enterrer la hache de guerre mais bien au contraire », affirme César, déçu. Le jeune homme va plus loin. « Humilier une personne aux yeux du monde, c’est être rancunier. Pour ceux qui ont regardé la première émission, ils ont vu que les deux invités ont été humiliés. Justement, c’est sa lucarne à elle, donc à mon tour, elle m’a également humilié », a fait savoir César Kouamé.
Par ailleurs, pour terminer, ce dernier a laissé entendre qu’il regrette d’avoir répondu favorablement à cette fameuse invitation, qu’il qualifie de piège. « C’est juste méchant et immoral de s’unir pour humilier une personne, en plus un petit frère, voire un fils. Je ne veux pas d’empathie mais du respect pour notre talent et travail », a-t-il conclu.