Chirurgie esthétique : telle une poupée Barbie, cette Australienne exhibe son « squelette » sur la toile (photos)

La chirurgie esthétique est, tellement, répandue, aujourd’hui, que le phénomène est devenu banal, à telle enseigne que bon nombre de personnes, surtout, la gente féminine, cherchent à passer sur le billard. C’est le cas d’une jeune Australienne, connue sous le nom de Tara, qui pousse les limites, en termes de chirurgie plastique.

Des images de la jeune femme ont inondé les réseaux sociaux, où Tara est vue, en bikini, à Victoria, en Australie, entre autres, exhibant son corps squelettique, provoquant le choc au sein de l’opinion publique. Selon les informations, la jeune femme n’a plus le droit de subir d’opérations sur le sol australien, pour la simple raison que Tara a, déjà et à plusieurs reprise, fait les frais du bistouri, pour la faramineuse somme de quelque 71 000 dollars.

Récemment, la « poupée Barbie » a été aperçue, en train de se prélasser sur la plage de Port Melbourne, affirmant : « Il n’y a pas de limite pour moi en matière de chirurgie plastique. C’est incroyablement addictif et je veux déjà de plus gros seins ! » « J’envisage également de changer la couleur de mes yeux en un vert encore plus vibrant, ainsi que de fixer mes paupières avec une canthoplastie, une blépharoplastie et un lifting des sourcils. », a-t-elle ajouté.

Tara n’a, apparemment, peur de rien, pour assouvir sa soif de se donner la plastique de ses rêves. « Pendant que j’y suis, je vais, probablement, recevoir des implants de joues, un mini-lifting, et j’étudie, même, la possibilité d’avoir des côtes enlevées, pour une taille plus effilée. », a-t-elle dévoilé. « Rien que d’y penser, ça m’excite ! »

Selon la « poupée » australienne, rien ne pourra l’arrêter dans son élan, jusqu’à ce qu’elle soit satisfaite, à 100%. « Je m’assure, toujours, qu’ils sont beaux et dodus, et qu’ils reçoivent des injections régulières. J’ai, définitivement, perdu le compte de la quantité de produit qu’il y a là-dedans ! Je suis enfin satisfaite de leur apparence ; alors, maintenant, tout n’est qu’une question d’entretien. », s’est-elle exprimée, visiblement, heureuse du résultat.