CAN 2022 : Miss Comores dézingue la CAF, Samuel Eto’o et Paul Biya, sa consÅ“ur camerounaise la recadre
La rencontre Cameroun-Comores, comptant pour les 8ème de finale de la CAN 2022, continue d’alimentaire les débats, sur les réseaux sociaux, notamment. Pour Miss Comores, la victoire des Lions Indomptables n’est que le résultat d’un mauvais arbitrage, au grand dam de la sélection comorienne.
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Le lundi 24 janvier 2022, au stade de Yaoundé, le Cameroun affrontait les Comores, dans le cadre des 8ème de finale de la CAN 2022. Au terme de ce duel palpitant, le pays organisateur a eu raison de son adversaire.
« … En tout cas, les magouilles du Cameroun … »
Cette victoire du Cameroun sur les Comores n’a pas fait que des heureux, et c’est le moins que l’on puisse dire. Alors que certains jubilent, après la confirmation du Cameroun, pour les quarts, d’autres, au rang desquels on retrouve Miss Comores, crient à la fraude.
En effet, Miss Comores, de son vrai nom, Marie Imamou, s’est saisi des réseaux sociaux, pour faire une déclaration. La reine de beauté comorienne s’en est prise à la Confédération africaine de football (CAF), au Président de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT), Samuel Eto’o, et au Président de la République du Cameroun, Paul Biya, qualifiant ce dernier de « momie ».
« Merci, les gars, vous avez été les meilleurs, j’ai rarement vu une équipe recevoir autant d’éloges dithyrambiques que l’équipe des Comores. En tout cas, les magouilles du Cameroun avec l’aide de la CAF, de Samuel Eto’o et de leur Momie qui leur sert de président depuis 1901, ont juste réussi à avoir le monde entier contre eux », a-t-elle publié, entre autres.
Marie Imamou était, certainement, loin d’imaginer que sa publication allait susciter tant de réactions, notamment, celle de son vis-à-vis du Cameroun, Samantha Julia.
Miss Cameroun répond à Miss Comores …
Suite à cette descente de Miss Comores, sur les réseaux sociaux, à propos de ce qu’elle qualifie de mauvais arbitrage, en faveur du Cameroun, soutenu par la CAF, Samuel Eto’o et Paul Biya, son homologue camerounaise a tenu à mettre les choses au clair.