« Regarder les perles des femmes peut prolonger la durée de vie des hommes »Â 

S’exprimant devant une audience attentive, le Dr Addo, pharmacien et entrepreneur de renom, a suggéré que les hommes qui admirent les perles portées autour de la taille des femmes pourraient jouir d’une vie plus longue. Cette observation intrigante repose sur l’idée que les perles de taille, en éveillant les désirs sexuels des maris, contribuaient à réduire l’incidence des maladies rénales chez nos ancêtres.

Le Dr Addo a déploré que cette pratique traditionnelle soit largement abandonnée par les femmes modernes, ce qui pourrait inciter leurs maris à se tourner vers des aphrodisiaques chimiques. Selon lui, l’utilisation excessive de ces substances pourrait endommager les reins. « Les perles de taille offrent une excitation naturelle et protectrice, contrairement aux aphrodisiaques chimiques qui posent des risques pour la santé« , a-t-il affirmé, exhortant les femmes à raviver cette coutume pour améliorer leurs relations conjugales et préserver la santé de leurs maris.

Pharmacien diplômé et titulaire d’une maîtrise en gestion industrielle de l’Université des sciences et technologies Kwame Nkrumah (KNUST), le Dr Addo a commencé sa carrière dans un magasin pharmaceutique à Kumasi en 1983. Visionnaire, il a ensuite fondé le Kama Education Project, destiné à développer les compétences entrepreneuriales des jeunes étudiants.

Le Dr Addo n’est pas seulement un entrepreneur accompli dans le secteur pharmaceutique au Ghana, mais aussi un auteur prolifique. Ses ouvrages visent à inspirer une attitude positive chez la jeune génération, consolidant ainsi son rôle de figure clé dans les domaines des affaires et de l’éducation.

Sa récente déclaration sur les perles de taille traditionnelles a ravivé l’intérêt pour cette pratique ancestrale, offrant une perspective nouvelle sur la manière dont les traditions culturelles peuvent influencer la santé et le bien-être modernes. En encourageant les femmes à renouer avec cette coutume, le Dr Addo espère non seulement préserver une part précieuse du patrimoine culturel, mais aussi promouvoir des pratiques de santé naturelle au sein des foyers ghanéens.