Bénin : voici pourquoi, l’enseignant d’université a sauvagement bastonné sa femme
Au Bénin, un professeur assistant de l’Université d’Abomey -Calavi a été déposé en prison pour violence conjugale. Les dernières informations la femme reproche à son mari, une relation extra conjugale avec une de ses étudiantes.
Un professeur assistant de l’Université d’Abomey-Calavi (UAC) est privé de sa liberté pour violence conjugale. En attente de sa présentation au Procureur de la République le 09 octobre 2021, Ivoir Web TV apprend que l’enseignant en question est un habitué des faits.
Une relation extraconjugale?
D’après la vidéo largement relayée sur les réseaux sociaux qui qui expose la scène horrible, tout serait parti d’une dispute de couple au cours de laquelle la femme reprochait à son mari sa relation extraconjugale avec une de ses étudiantes de la deuxième année.
« Tu ne peux plus rester ici, il faut sortir de cette maison », peut-on entendre l’enseignant dire à son épouse. Et la femme de s’y opposer : « Je resterai ici, l’étudiante ne viendra pas ici, une étudiante de 2ème année, tu couches avec elle et tu n’as pas honte. Je croyais que tu avais dit que tu ne couchais pas avec tes étudiantes », à peine a t-elle fini de parler qu’elle a reçu des gifles de la part de son mari, assis sur elle et tenant avec force ses deux bras.
Convoqué dans cette affaire qui émeut la toile, le professeur assistant âgé de 45 ans et en service à la Faculté de Droit et de Sciences Politiques (FADESP) de l’UAC a été déposé en prison.
Qui a publié a vidéo ?
La vidéo fait le tour des réseaux sociaux depuis quelques heures? Mais pourquoi avoir publié une telle vidéo sur la toile sachant que le code sur le numérique l’interdit? La responsabilité a été attribuée très vite à l’ONG FAMILLE-NUTRITION-DEVELOPPEMENT qui avait dénoncé les faits sur sa page Facebook.
Il circule actuellement sur les réseaux sociaux une vidéo dans laquelle un homme bat une femme. Certaines personnes attribuent la publication de cette vidéo à l’ONG FAMILLE-NUTRITION-DEVELOPPEMENT qui avait dénoncé les faits sur sa page Facebook. Par ce message l’ONG FND ne se reconnaît aucunement ni de près ni de loin être auteur de la publication de cette vidéo qui ne protège en rien la victime.