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Angola: la bataille autour du rapatriement de la dépouille de Eduardo dos Santos se poursuit

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La fille de l’ancien président angolais Jose Eduardo dos Santos a fait appel jeudi de la décision d’un tribunal espagnol de remettre le corps de l’ancien dirigeant, décédé à Barcelone le 8 juillet, à sa veuve pour être rapatrié et inhumé en Angola.

Depuis le décès de l’ancien chef de l’État le 8 juillet à Barcelone, en Espagne, les membres de sa famille se livrent une bataille juridique pour déterminer où il sera inhumé. Mardi 16 Aout, un tribunal espagnol a décidé que le corps de l’ex-président angolais José Eduardo dos Santos, décédé le mois dernier à Barcelone (nord-est de l’Espagne), devait être remis à sa veuve pour être rapatrié et inhumé en Angola. Mais, Tchizé dos Santos, la fille de l’ancien président angolais admet faire appel à la Cour européenne des droits de l’homme.

A lire aussi: Le corps de l’ex-président dos Santos sera remis à sa veuve et rapatrié en Angola

En outre, l’appel interjeté par la fille de l’ex-président insiste sur le fait que M. dos Santos et Ana Paula étaient séparés depuis 2017 et « ne vivaient pas dans une situation de normalité matrimoniale ». « Tchizé » est opposée au retour de la dépouille de son père en Angola, affirmant qu’il souhaitait « être enterré dans l’intimité en Espagne », où il vivait depuis 2019, et non dans son pays « avec des funérailles nationales qui pourraient favoriser le gouvernement actuel » du président Joao Lourenço lors du scrutin du 24 août, selon ses avocats. « Tchizé » dos Santos semble craindre que des funérailles nationales pour son père soient instrumentalisées par le pouvoir.

A lire aussi : Angola: les enfants aînés de l’ex-président Eduardo dos Santos font du chantage avec le corps de leur père

Dans un premier temps, la justice espagnole s’était opposée à la remise du corps à la famille de l’ancien président angolais, le temps d’effectuer des analyses complémentaires à l’autopsie et d’identifier « le ou les membres de la famille » à qui remettre la dépouille. Mais le tribunal a confirmé que l’autopsie a conclu à une « mort naturelle », avec des problèmes d’« insuffisance cardiaque » et de « surinfection pulmonaire ».

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