Live logo
Pigier formation IFRS
AccueilNews - InfosPolitiqueBénin: les assurances de Wilfried Houngbédji sur la suite réservée aux doléances de Boni Yayi

Bénin: les assurances de Wilfried Houngbédji sur la suite réservée aux doléances de Boni Yayi

- Publicité-

Les demandes formulées par l’ancien président Boni Yayi lors de sa rencontre avec le président Patrice Talon ne sont pas tombées dans des oreilles de sourds. C’est l’assurance donnée par le secrétaire général adjoint et porte parole du gouvernement, Léandre Wilfried Houngbédji sur l’ORTB.

La rencontre du mercredi 22 Septembre 2021 entre le président Patrice Talon et Dr Thomas Boni Yayi n’est pas juste un scénario politique. Le président de la République est véritablement dans une posture de travailler à l’apaisement du climat sociopolitique. C’est du moins la position de Léandre Wilfried Houngbédji, porte-parole du gouvernement.

A lire aussi: Bénin; Distinction: des conseillers de la cour constitutionnelle décorés

Se prononçant sur l’ORTB sur la suite réservée aux doléances portées par Boni Yayi à l’attention du président de la République, le secrétaire général adjoint du gouvernement affirme que Patrice Talon a pris bonne note de toutes les demandes formulées par son prédécesseur.

Ces demandes, rassure-t-il feront objet d’examen avec d’autres instances de la République afin que les possibilités de leur mise en œuvre soient étudiées. Si à l’issue de l’examen, « ces demandes aboutissent à des décisions ou à des actes, vous en serez forcément informés » , a rassuré le porte parole.

Que retenir des demandes de Boni Yayi ?

Reçu en audience le mercredi 22 Septembre au palais de la présidence de la République, l’ancien président Boni Yayi a profité de cette audience autour de la décrispation de la tension politique pour formuler des doléances.

- Publicité-

Dans la perspective de cette décrispation, le président d’honneur des démocrates (parti politique d’opposition) et ancien président de la République estime qu’ il y a lieu de prendre dans un bref délai les mesures de salut national ci après:

  • Mettre fin à toutes les arrestations politiques et d’opinion pour permettre à tous nos compatriotes réfugiés récemment à l’étranger de rentrer chez eux,
  • Libérer tous les détenus politiques dont entre autres nos compatriotes Madame la ministre Reckyath Madougou et le Professeur Joël Aïvo candidats recalés à la dernière Présidentielle,
  • Bien évidemment aussi, le cas de nombreux jeunes en souffrance dans nos prisons ,
  • Puiser dans l’arsenal institutionnel idoine afin de favoriser le retour sans délai dans la mère Patrie de tous les exilés politiques condamnés ou non,
  • Institutionnaliser une concertation périodique avec les Anciens Présidents et autres sages de la société civile pour prévenir toute crise susceptible de remettre en cause notre démocratie,
  • Ouvrir une concertation avec la classe politique en vue de discuter des questions politiques, sources de crispation sociale et d’éviter toutes formes d’exclusion.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici
Captcha verification failed!
Le score de l'utilisateur captcha a échoué. Contactez nous s'il vous plait!

spot_img
Bénin

Bénin: malgré la contre-campagne, le colloque de l’église catholique sur le code électoral s’ouvre ce jeudi

Bénin

Bénin: le procureur ordonne l’inhumation des corps abandonnés dans les hôpitaux de Tanguiéta et Djougou

Bénin

Bénin: des cambrioleurs tuent un père de famille et blessent 2 de ses enfants à Parakou

USA: Joe Biden promulgue la loi sur une possible interdiction de TikTok

Bénin

Bénin-Bavure policière à Natitingou: peine de prison requise aussi contre la victime

Bénin

Le pétrole du Niger désormais acheminé vers le Bénin

Bénin

Bénin: création d’un registre pour identifier les vrais propriétaires de parcelles

Mali

Mali: 24 terroristes neutralisés à Kalifaré

Bénin

Bénin- Défaut de port de casque: l’amende forfaitaire passe de 10000F à 5000F

Côte d'Ivoire

Simone Gbagbo: « Je ne suis pas encore divorcée, j’autorise les ivoiriens à m’appeler… »