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Bénin – CRIET: la France accorde le statut d’exilé au juge Batamoussi Essowé

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Les choses sont allées assez vite pour l’ex juge de la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), Batamoussi Essowé. Quelques jours seulement après son arrivée en France, il obtient son statut d’exilé.

Quatre mois après sa démission de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), le magistrat Essowè Batamoussi a rallié Paris, la capitale française, depuis le weekend dernier.

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A   Lire aussi: Bénin: l’ANaTT citée dans une affaire de vol de motos, un réseau national démantelé

Depuis son départ de Cotonou, Essowè Batamoussi avait trouvé refuge à Lomé avec sa famille. C’est seulement le weekend dernier que le magistrat a pu faire le voyage de famille avec son épouse et quatre de ses enfants.

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Hébergé en France par un togolais selon plusieurs médias, il a entamé depuis le début de cette semaine avec l’assistance de l’avocat français de Reckya Madougou, des démarches administratives afin d’obtenir le droit d’asile.

Quelques jours seulement après l’entame des démarches, Batamoussi Essowé a obtenu son statut de refugié en France.

Retour sur la démission d’Essowè Batamoussi

L’information de la démission du juge Essowè Batamoussi, de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), a fait le tour des médias locaux au début du mois d’avril.

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Les raisons de cette démission seront évoquées, quelques heures plus tard, par le concerné lui-même. En effet, c’est aux confrères de Radio France Internationale (Rfi) que le désormais ex-juge de la Criet s’est confié dans la matinée de ce 5 avril 2021.

Dans ses explications, Essowè Batamoussi affirme avoir jeté le tablier à cause des pressions qu’il aurait reçues dans l’exercice de ses fonctions.

« Le juge que je suis n’est pas indépendant comme cela se devrait. Toutes les décisions que nous avons été emmenés à prendre l’ont été sous pression… « , avait confié le magistrat.

Des propos qui seront remis en cause, quelques jours plus tard, par le Garde des sceaux et ensuite par le porte-parole du gouvernement, sur le même média.

Du côté du pouvoir, il est ventilé la thèse, selon laquelle le juge aurait été payé pour démissionner, afin de remettre en cause l’indépendance de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme.

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